Stan Thuret : notre champion pour la Mini Transat  6.50

Stan est drôle et nous aimons rire. Stan est créatif et nous aimons être surpris. Stan est courageux et nous aimons vibrer. GlobeSailor a choisi de soutenir à fond Stan Thuret dans son projet de grande course au large sur un mini voilier de 6.50m, pour vivre et partager les grands frissons que donnent les grands défis. On vous raconte tout : vous allez voir, ça va être sympa.

Mais qui est Stan Thuret ?

Stan Thuret n’est pas sorti du ventre de sa mère en disant « plus tard je serai Tabarly ! ». Il n’a rien du coureur au large « type ». Il n’a pas fait ses classes dans les écoles de voile ou d’ingénieurs, il n’a jamais gagné de régates, il ne s’est pas (encore) fait tatouer une ancre marine sur la cuisse. Quand il décide de prendre le départ de la mini transat 6.50, il n’a jamais fait de croisière ni passé une seule nuit en mer, et il n’a pas pléthore de miles à son compteur. Il n’a aucune expérience du large ni de la course. Et pourtant Stan se dit « je peux le faire ». A ce jour, Stan a acheté son bateau, trouvé ses sponsors et s’est qualifié pour prendre le départ de la mini transat 6.50 le 1er octobre prochain à La Rochelle. Qui est Stan Thuret ? Stan Thuret est un type qui a de la suite dans les idées. On a un premier élément de réponse.

Objet Flottant Non Identifié

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Oui, Stan est un OFNI dans le milieu nautique et c’est aussi ce qui nous a plu chez lui. Quand vous l’interrogez sur sa vie et son œuvre il vous répond : cinéma (il est assistant réalisateur), musique (il est auteur-compositeur), snowboard (il peut se permettre de bicher avec une planche). Naturellement, vous demandez : « et la voile dans tout ça ? ton cv nautique ?» Et lui de répondre qu’il a
fait du 4,20 avec son père pendant les vacances. Ah. Vous aussi vous avez fait de la voile avec vos parents l’été. Ce n’est pas pour autant que vous avez décidé de traverser l’atlantique tout seul sur un Tupperware.

Alors c’est quoi le comment du pourquoi de ce défi Stan ?

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« Je commençais à tourner un peu en rond dans mon métier sur les plateaux de cinéma…en passant de plus en plus de temps en Bretagne entre 2 films, j’ai commencé à voir des petits bateaux de courses qui s’entraînaient sur le même plan d’eau que moi. Par curiosité je me suis renseigné….Et j’ai proposé à un Ministe, Pifou Dargnies, de filmer sa préparation à la Mini-Transat en 2013. Le jour où j’ai filmé son départ je me suis dit que ça serait quand même dingue si j’arrivais à faire ça moi aussi. Alors, en partant de quasiment rien, j’ai acheté un Mini 6 mois plus tard… Et j’ai mis 3 ans à apprendre tout du large… Enfin, suffisamment pour pouvoir prendre le départ de la prochaine édition de la mini-transat ! C’est vraiment le côté défi/aventure qui me motive ! Et puis je pense que j’ai envie de m’éprouver, de voir jusqu’où je peux aller physiquement mais surtout mentalement. »

Ce qui nous a plus chez Stan, c’est que son manque d’expérience n’a en rien altéré sa confiance en lui. Stan ne s’est pas dit « c’est pas pour moi, je n’y arriverai jamais », il s’est dit « c’est pour moi, je peux le faire ». Il faut avoir la foi et le courage. Un optimisme à toute épreuve et un esprit d’entreprise qui font écho à l’oreille des collaborateurs de GlobeSailor. Nous avons à cœur de réaliser les rêves de croisières de nos clients et aussi les rêves d’aventures des audacieux !

photo : Stan double Jean d’Ormesson sur le tournage de “Les Saveurs du Palais” à l’Elysée 

Du génie créatif

Regardez comment Stan a fait pour attirer la curiosité des médias et des sponsors.

Alors ? Du génie on vous dit !

Demandez le programme

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Nous allons suivre Stan (toque orange, casaque bleue) tout au long de sa préparation et des différentes courses qu’il va faire, jusqu’à la fameuse mini transat 6.50. Nous allons partager avec vous ses aventures et ses vidéos (il va y avoir des surprises) et tous ensemble, nous allons encourager ce jeune fou à aller au bout de son rêve qui devient le nôtre aussi maintenant ! Nous vibrerons au
rythme de ses pointes de vitesses et de ses coups de tabacs, nous pleurerons d’émotion à tous ses départs, nous sauterons de joie à toutes ses arrivées, nous trinquerons tous les week ends (avec modération bien sûr) à sa santé et à celle de son bateau Kerambigorn. Et surtout comme dirait Stan lui-même, on va bien rigoler. On ne demande que ça !

A Stan nous disons un grand merci, un grand bravo, et maintenant : go !

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